Sur l'arbre obélisque terrassé par la foudre
Arracher le rameau pour disperser le feu
Sur les os boursouflés par les cendre encore chaudes
Ranimer les couleurs des printemps sacrifiés
Et dans l'ébranlement de la nuit qui avance
Sauver les mots mal dits, tous les mots malmenés
Comme des vagues-béliers sur un mur de ténèbres
Dans l'ébréchure du jour trouver une lueur
Et que l'oeil du cyclone engloutisse la peur
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