L’abysse du silence
à la frange des vagues
la chevelure d’écume
sur traînée bleu de mer
lumière
du monde distillée sur le sable
perles de coquillages
souffles de la nuit
rester subjuguée
se recroqueviller à l’aube de la Vie
n’être plus que le Souffle
l’Ame du vent
par-delà les gouffres
par-delà les songes de l’eau
(Codicille en écho à ‘Les Vagues » de V.Woolf
–interlude 10)
1 commentaire:
Les 2 textes se font écho et me parlent si bien de toi, celle que tu tais dans la vie et qui explose dans les textes; en tout cas, c'est ainsi que je les reçois et j'aime les deux
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