dimanche 5 septembre 2021

Maison, ma belle maison...

 Après plusieurs mois de suspension, voici le retour de l'atelier d'écriture d'à la brise:

Ce fut un bel après-midi de septembre à plusieurs mains et cerveaux autour de la maison d’Ange Gabrielle qui nous a accueillis pour une belle dernière fois!  

Un atelier décliné en sept étapes, dévoilées au fur et à mesure.  Chacun commence avec la première proposition, un incipit ça tombe bien, puis passe sa feuille à son voisin de gauche, surtout pas celui de droite sinon ça fait des embouteillages, puis se plonge dans la deuxième consigne, après avoir pris connaissance de ce que son voisin a écrit en incipit, et ça tourne ainsi à chaque nouvelle proposition! Donc sept écritures différentes dans un même texte, et à la fin sept récits!

1/ rédiger une phrase incipit en commençant par une préposition en restant vague sans précision de personnages, ni de lieu pour l’instant.

2/ apparition d’un personnage, juste signifié par il ou elle, qui arrive dans la rue: comment il arrive là, d’où il vient, son état physique, mental, vêtements.. pourquoi...

3/ accumulation de pensées, de ce que le personnage voit, entend… (à la Christophe Tarkos) à l’intérieur de la maison/ jardin en une longue phrase

4/ quelque chose qu’il ou elle ne sait pas sur ce lieu

5/ il ou elle trouve un objet, quelque chose d’insolite qui le fascine

6/ phrases finales avec un mot imposé: métamorphose

7/ Codicille: la maison donne son avis sur ce qui vient d’être écrit!

 

1 commentaire:

Ange-gabrielle a dit…

Merci Solange pour cette belle consigne qui nous a remis le pied à l'étrier (pas facile d'écrire avec les pieds, mais on y est parvenu) et à vous toutes et tous, bien présents-es, fidèles plumes affutées, merci aussi pour les cadeaux, livres et carnets, pour votre amitié et plus -si affinités. De tout coeur MERCI. Les textes vont apparaître, ils resteront sur ce blog et vous dans mon coeur. Bien sûr, je continuerai à écrire avec vous, à distance et tout près par le coeur puisque l'informatique permet ces prouesses-là