lundi 1 août 2011

chute de girafon


«je t’attendais»

«je t’adore»

«je t’admire»

â l’eau

«tu m’emmènes (au paradis)»

sans nuée de grues

«j’imite le cri du paon»

pour t’épater

hors la galerie

l’idée de ...

jouer les sirènes

à l’eau

déraper dans la rivière

maladroite

mais pleine d’audace

sans peur

après l’eau qui glace

«je t’enlace»

a s’est glissé entre l et u

«a»

ailé

des ailes

ailes du désir

«je t’escalade»

si tu m’aimes toute folle

ouf !

jambes flageolantes

une chamoiselle trébuchante

sur les cailloux

choux

à genoux

s’effondre

comme un girafon

«je t’.......»



3 commentaires:

lin a dit…

un petit giraphon font font... trois petits tours (à l'eau, eh lau) et puis s'en vont tout en cou (r) ent

Ange-gabrielle a dit…

Avant de t'envoyer mon mail de bonne nuit, je n'étais pas encore allée me balader sur mes blogs préférés.C'eût été bien dommage de manquer ce joli girafon à califourchon sur la plus grande des grues, qui se rend où ? Elle ne le savait pas elle-même avant de réaliser que parfois "je t'aime" rime avec "sirène"(enfin presque), mais entre fofolles pleines d'audace, on peut bien rouler dans les cailloux ou s'envoler sur les ailes du désir

Anonyme a dit…

hummmmmmmmmm................