dimanche 5 décembre 2010

Jeannine de Dallas, un dimanche ordinaire

Quatre décembre 2010, ce n'est pas un drame, même s'il pleut des cordes.
C'est égal, je parcours le blog et essaye de comprendre :qu'est ce qui nous anime ,nous, les bloggers de la brise de ?
J'ai trouvé en tout cas pour moi aujourd'hui, de la nostalgie, le dimanche qui s'étire, la tombée de la nuit Alors quel remède ,?
Je me suis mis le disque du chant des esclaves et je me dit que je ne serais plus sous le joug d'un maître je suis un peu grâce à vus affranchie  et j'ai les ailes d'une liberté celle d'écrire.

1 commentaire:

Ange-gabrielle a dit…

Je doute que ce soit grâce à nous que tu te sentes affranchie, affranchie tu l'es dans tout ton être. Mais que l'écriture nous donne une liberté plus vaste, des ailes par rapport aux entraves de la réalité et que tu nous sois indispensable, ça ma belle, je n'en doute aucunement.