des diagonales d’ombres où s’accrocher
dans les rituels d’un quotidien
qui dicte la balade essentielle
aller là où l’on sait la faille
où se fondre entre les fissures
d’un paysage que l’on reconnait
comme sien se découpant discret
entre bruissements et chuchotis
des eaux froissées comme tissus
paraissant sourdre d’un silence
se replier apaisé dans les plis
des diagonales d’ombres où s’accrocher
2 commentaires:
J'aime beaucoup czs "eaux froissés comme tissus". C'est bon d'échapper à la vie professionnelle et de pouvoir chaque jour faire prendre l'air à sa attestation, n'est-ce pas ?
Tout en délicatesse.
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