à-coups de lumière
dans les meurtrissures d’ombres
ultimes blessures à s’incruster
dans le miroir aux couteaux cerclés d’or
tout tend à se figer dans ce mirage
comme si l’éternité se laissait voir
et consciente de l’extrême fragilité
que chaque chose chaque être sur terre
porte en lui ressent dans ses propres ombres
la peau suinte d’entailles putréfiées par les ans
1 commentaire:
Ton texte me rappelle cette phrase de Léonard Cohen
"En tout être il y a une fissure, c'est par là que passe la lumière"
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