Par ces matins de neige, une phrase à savourer avec les tartines
"Quand on lit, on suit une route qui nous éloigne de nous-mêmes pour rentrer en nous-mêmes d'un autre côté"
Elisabetta Rasy "L'obscure ennemie" Seuil
"Quand on lit, on suit une route qui nous éloigne de nous-mêmes pour rentrer en nous-mêmes d'un autre côté"
Elisabetta Rasy "L'obscure ennemie" Seuil
2 commentaires:
Comme je lis plusieurs livres en parallèle, je comprends pourquoi je ne retrouve plus mes traces dans la neige...
Ah Laura, toi aussi, tu t'y es mise aux lectures en piles ! pour moi : un polar qui se passe à Portsmouth (ma future destination en avril mai, quoique ?!!), Une histoire populaire des Etats Unis (Howard Zinn), Mort d'un jardinier (Lucien Suel), Eros mélancolique (Jacques Roubaud et Anne F. Garréta); je fins par ne plus savoir si le jardinier est mort de mélancolie en Amérique, ou si Christophe Colomb a disparu en mer au large de POrstmouth, mais tout se tient.
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