28 septembre 9h12 s’il était possible de promener le perdu ( Cole Swensen dans Poèmes à pied p 75)
on irait çà et là – avec entre les mains – le songe de ce qui fut – les souvenirs et les absents – ce peu de bruits – des pas dans la brume – et tout ce qui échappe – on reprendrait souffle – et on risquerait encore quelques pas – un peu de chaleur – une petite joie –( 16h12)
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