Puis un jour, il en avait eu assez, s’enfuyant pris de panique devant ma verve exaltée, mon harcèlement électronique, et bien que ne changeant pas d’adresse, il s’était contenté, ou s’était contraint ou s’était …. À se diluer dans le cyber espace, hé hé, je l’ai placé, jusqu’à ne plus répondre, puis encore, bien plus tard un dernier message où il disait qu’il renaissait grâce à la mer, toujours elle, deux lignes qui s’étaient transformées en mondes parallèles et tout était bien qui ne finissait pas.
Comme d’habitude
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