Hier après midi, 14 heures pile, avons embarqué dans un car hyper climatisé -la seule fausse note de ce bel après midi orageux et plein de miel- sur les traces archéologico-ferrovières de la première ligne de chemin de fer européenne continentale. Faisons abstraction de quelques rails par ci par là du c$oté de la Perfide Albion, ne soyons pas mesquins, accordons à St Etienne et à son Pont de l'âne, le privilège et la primeur de cette ligne de chemin de fer.
Depuis le Pont de l'âne, début des festivités, la ligne traversait le Soleil, longeait les abords du Zénith, arrivait vers le bois Monzil. Se perdait un peu à Villars, puis longeait le Furan. Une jolie promenade le long du chemin des canaux secs, près de st Just st Rambert. Fin de la ballade sur les berges de la Loire à Andrézieux .
Sur la Loire le charbon était acheminé sur des rambertes, bâteaux rudimentaires à fond plats, et à usage unique qui une fois arrivés à bon port étaient détruites car elles ne pouvaient pas remonter.
Le prochain itinéraire commun pourrait consister à aller marcher sur les vestiges de notre histoire (hi hi), il y a une belle longueur dans Saint-Etienne où l'on ne risque pas de se jeter sur les roues d'un train (photo ci-dessous, vers le Zenith)
Le prochain itinéraire commun pourrait consister à aller marcher sur les vestiges de notre histoire (hi hi), il y a une belle longueur dans Saint-Etienne où l'on ne risque pas de se jeter sur les roues d'un train (photo ci-dessous, vers le Zenith)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire