C’est une première jonquille aperçue les jours précédents, pointant une feuille à travers la neige, puis une deuxième le lendemain.
Ce matin où je l’ai vue, quelques traces de neige et la lumière jaune de la fleur au pied du seringat endormi.
La violence du printemps.
Ici.
Ne laisse d’émouvoir.
Ainsi, devant une naissance.
4 commentaires:
22h05, je te lis à 6h30, le décalage ne change rien à l'affaire.C'est une joie qui ne laisse d'émouvoir que de te lire et de voir tes jonquilles. Ici à Bourdeaux, elles sont déjà bien passées et à Nyons hier, les fleurs de marronniers s'épanouissaient en majesté, odorantes, mellifères.
Dans le titre il y a printemps 1, donc c'est une série qui est annoncée!!! Contente de te lire Michel...et de me laisser émouvoir par ces jonquilles.
un être s'éveille
... Une jonquille... des souvenirs d'enfance et des avenirs de printemps. Merci.
Enregistrer un commentaire