Pas aussi aRomantique la stéphanoise aux 7 collines ?
On
dévale le passage Mozart tout en fredonnant la 40ème symphonie, celle reprise
par les Compagnons de
On
passe de l'autre côté du Cours Fauriel, pour remonter le courant de la rue Henri
Déchaud
encore
plus rupine, encore plus perchée, au sens extravagant
On
attaque le passage Gabriel Fauré, coupé en deux montées bien raides. Rééé-quiem
! aimé entre tous, musique diffusée lors des funérailles de ma gentille maman, CD
offert agrémenté d'un ruban de mots jamais réédités
Faut
dire que ça grimpe dru, on ne s'agrippe pas aux rampes métalliques rouillées, des
lichens ici et là, un biberon à oiseaux, des immeubles dans des parcs, Quiétude
est leur nom, des maisons pimpantes bien que centenaires, de hauts murs. Les
jambes qui frétillent
Sur
le plateau de
Au sommet, des caquetages de poules, des cabanes moussues, un monde caché : a-t-on franchit le km autorisé ?
On a le dépaysement qu'on peut et le kilomètre qu'on mérite
cerise sur le gâteau sur le plateau
3 commentaires:
Benh ! C'est bien beau, je connais bien ce coin. JF habitait rue H Déchaux, c'est là que ns ns sommes connus et ns l'avons beaucoup arpenté (j'habitais alors Pl Villeboeuf, nous n'avions ni jardin, ni campagne drômoise)
as-tu écouté les Compagnons de la chanson ?
Ah les garagnas!!! Beauseigne pour les jambes!!!
Enregistrer un commentaire