quand vas-tu mourir toi
grand-père
doucement les genoux droits
feu au grenier
les briques un poteau
s’en souvenait
elle est retournée dans la maison et c’est tout
mon père qui attendait
dans le recoin d’un mur
le poulet se débattait aboyait
les toucans tournaient
dans la vie pour qu’ils s’y accrochent
fiche le camp
vous avez maigri père
avec les mots de lobo antunes tirés de 'la nébuleuse de l’insomnie’
1 commentaire:
J'ai abandonné momentanément ce livre tellement je le trouvais dur, les mots "puisés" reflètent bien l'ambiance
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