à
la grâce
d’un dieu ou
d’une vision d’aura
peindre sur les voies du
visible ce qui n’est que rupture
séparation dispersion dislocation
toutes ces plaies béantes au sein de
nos existences – l’esprit éperdu dans le
livre des choses aux sens inattendus entre
la chute des anges en cohortes d’insectes qui
s’extirpent d’eux-mêmes – la femme qu’on extrait
de la côte du premier homme – ce péché qui les fait
se séparer d’un dieu tout puissant et qui se concrétise
par l’expulsion d’un paradis où le rocher évidé qui en clôt
l’entrée est barré par un ange guerrier aux ailes acérées pour
dire toute la violence déjà là promise et comme une annonce de
cette lutte de toute éternité entre les états d’être à l’intérieur de soi
Codicille: Toujours autour du Chariot de foin de Jérôme Bosch , volet de gauche, avec les mêmes contraintes que dans le klasma précédent .
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