à l’unisson
avec les silences incrustés et les gouttes écarlates
broderies des désirs et des rires
dans la gorge chamarrée des oiseaux
une mélodie blanche éthérée éternelle
crémeuse et veloutée d’infini
irriguée d’un peu de brume à faire palpiter
encore plus fort les creux du cœur
et virevolter les proses incertaines
en des tourbillons de lumière sur la page blanche
Codicille: Klasma en écho à la dernière partie du premier interlude des Vagues de Virginia Woolf avec les contraintes de commencer par "à" et d'une présentation en 10 vers et 60 mots.
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