Visages et silhouettes ont rejoint le lieu initial, mais comme à distance, comme fugaces. On va prolonger et accumuler l'écriture comme matière, la laisser constituer ses amas, ses chants...Ne pas , pour l'instant, se poser la question de continuité, mais laisser cette matière première enfler, accueillir ce qui lui est hétérogène.
Aller chercher, pour le lieu et l'instant mis en place, tout ce qui résonne du monde extérieur.( S'appuyer sur l'été 80 de Duras et sur les "compressions " de Christophe Tarkos dans son livre Processe)
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