Je t'aime poupée de vogue quatre roses posées sur ton corsage je dirais même sur ton coeur et ces perles,combien de rangées ? je ne saurais les compter, autour de ton cou une fraise tu n'es pourtant pas un page, et tes cheveux ils s'échappent de ton chapeau, une légère voilette masque ton regard, moi je ne crois pas que tu es destinée à une fillette tu es beaucoup trop sensuelle, ton nez est droit, il prend toutes les odeurs, il renifle, et te lèvres pulpeuses entre baillées prêts pour le péché de chair.
Je t'ai vue un jour posée sur un coussin bariolé sur le lit d'un couple je suis persuadée qu'au premier ébats tu as atterrie sur le plancher. bien fait pour toi tu es trop sûre ma vieille, les laiderons ont eux aussi leur place les figures imposées ils n'en n'ont que faire. Pardon poupée ce n'est pas de la jalousie, oh que non, je l'ai déjà dit il faut s'assumer nous avons des talents cachés nous les nos stéréotypés.
Publié par Jeannine de Dallas
2 commentaires:
Quel trésor ce matin, cette poupée trop belle et la réhabilitation des laiderons !!!
oui en effet, j'y vois dans cette description un petit air de famille avec la mijaurée de grand glaieul... mais quand même jeannine ne pourrais tu pas dans ton texte précédent étendre ta réhabilitation des laiderons à ce pauvre poulpe qui bôsaigne en prend plein les tentacules?
et puis dis: c'est quand que tu le publies ton texte sur les premières photos avec le bouquet de la marié que j'avais trouvé si beau?
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