a capella on pourrait dire – parce que dans la
chapelle – le corps à l’intérieur – & l’esprit
dans cet au-delà – l’au-delà des murs – ce qui
surgit et happe – ce qui submerge par la porte
béante – les voix du vent enchevêtrées dans le
feuillage – la houle qui se trémousse – hésite
tergiverse s’entortille – étincelles rouges et
jaunes – échardes vives dans l’œil – puissance
de vie de rêve – longue ondulation de lumière
mouvante – à la fois sombre et vive – dorée et
terne – chaîne et trame – et au sol le linceul
de feuilles mortes – aux voix sèches cassantes
– partition ultime de tons au seuil de l’hiver
2 commentaires:
super !! ça vient ça vient
super ! ça vient bien !
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